Dilemme électoral : mettre des données sur la blockchain ne signifie pas qu'elles sont correctes

L'oracle doit être capable de vérifier la validité des données - et, par conséquent, de la source de l'information elle-même - et de fournir des données sur un large éventail d'événements du monde réel. Dans une conversation avec Cointelegraph, Alice Corsini, directrice de l'exploitation chez Provable Things - une plate-forme qui développe des solutions décentralisées, y compris des oracles - a convenu que lorsqu'il s'agit d'opérations sensibles comme les élections politiques, il est essentiel que quiconque puisse vérifier l'authenticité de données gérées par les oracles : « Dans cette mesure, les oracles peuvent adopter des technologies de sécurité telles que l'informatique de confiance pour permettre la vérification de l'authenticité des données et rendre le processus transparent. »

S'exprimant sur l'utilisation des données publiées par l'AP, Kalikhov de Waves Enterprise a suggéré que bien que la blockchain soit déjà utilisée lors des élections nationales, ce projet spécifique n'apporte pas une réelle valeur basée sur la blockchain au processus de vote, car il s'agit uniquement de fixer les résultats dans un environnement immuable : blockchain. » Kylin Network, un fournisseur d'oracles décentralisés qui a récemment reçu une subvention Web 3.0 pour la construction d'une infrastructure de données, a proposé de résoudre le problème des sources de données fiables en collectant des informations sur un événement particulier à partir de sources indirectes.

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